Je me suis assise avec Jane Bourke, travailleuse social et coordinatrice de l’équipe de transition. Jane fait parti de l’équipe depuis 2006 et travail avec les familles dont les enfants ont quittés l’unité pédopsychiatrique, mais avec qui des membres de l’équipe travaillent activement avec leur école.
Elle explique, “L’objectif de l’équipe est de maintenir les gains” que les enfants ont acquis lors de leur traitements psychiatrique, après leur décharge. Son équipe y participe à l’aide d’une approche flexible, qu’elle décrit comme l’un des élément le plus important du programme. Elle explique, “Nous avons structuré l’équipe de manière à être disponible en tout temps. Des familles m’ont appellé tard le soir… Nous ne sommes pas un service d’urgence, mais obtenir du soutien de façon… pratique est nécessaire.

Ce processus de transition n’est pas sans défis. “La régression est souvent une expérience normale,” Jane explique que, “notre rôle est de soutenir cette régression, qu’elle soit minime et ai besoin d’une petite poussé, ou qu’elle soit importante.” Une des façon dont l’équipe de soin de transition peut fournir ce soutien, est part son accès facile à l’équipe de pédopsychiatrie de l’hôpital général juif.
Le plus grand défi à relever pour ces enfants sont les changements occasionnés par la transition du retour à l’école. Ils peuvent inclure des attentes sociale et des difficultés d’apprentissage qui font surface lorsque l’enfant retourne à l’école. Un autre exemple est la grandeur de la classe, “revenir d’un programme où les salles de classe sont d’un maximum de 8 élèves (à l’hôpital de jour) à une salle de classe de plus de 25 enfants” peut être difficile. Une partie de cette difficulté est que “on ne peut s’attendre d’un enseignant(e) qu’il/elle puisse identifier les signes indicateurs d’un début de régression… Ces petits comportements qui s’aggraveront s’ils ne sont pas adressés.” Ces signes sont ce que les éducateurs tentent de repérer lors de leurs observations dans les écoles.
Malgrés ces défis, l’équipe de soin de transition fut témoin de plusieurs succès. En particulier, Jane se souvient d’un garçon avec comportement agressif qui avait de sérieuses difficultés à l’école et à la maison. L’équipe avait surpassé leur contrat habituel de 6 mois et avait travaillé avec la famille pendant 2 ans. Jane présume que l’enfant “ s’aurait probablement fait suspendre de l’école de façon permanente si nous n’avions pas été là” et “ il est toujours à l’école. C’est un succès, car notre objectif optimal est de s’assurer que ces enfants pourront graduer. Ainsi, nous espérons que plus tard, ils n’auront pas recours au système (de soins en santé mental) aussi fréquemment qu’ils en auraient peut-être eu besoin sans la présence des ces traitements antérieures.”
Comment les parents peuvent-ils aider lors de cette transition? “Gardez contacte” Jane dit, “Notre intention est de construire une équipe autour de l’enfant.”
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